Je perds mes dents

Un rêve de coralie envoyé le 15 mars 2008

Bonjour,  je rêves presque toutes les nuits que je perds mes dents une par une. Je me demande alors ce que je vais pouvoir faire, il faut que je les remplace... mais je les perds une par une, je les touche et elles tombent.

merci de votre attention

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Accouchement de quintuplés

Un rêve de babys4 envoyé le 5 mars 2008

Alors je vous raconte mon rêve...

J'ai rêver que j'accouchais de 5 bébés, très bel accouchement d'ailleurs. J'ai donc eu 3 filles (comme prénom je me souvient de Laurie, Marie, Duncan et Nathan) et 2 gars.

Dans mon rêve je devais accoucher de 2 jumelles et on s'aperçoit qu'il y a d'autre bébés. Toute ma famille et mes amis sont là dans la salle d'attente, mon mari et mes enfants actuels (j'en ai 4 déjà) attendent dans la salle ou on lave les bébé. Mon mari est dépassé par les événements et moi je vis ça super bien. Je sors même le dernier bébé seule (qui nais pas les pieds) car personne n'est avec moi dans la salle d'accouchement.

Après je me lève comme si de rien était et je vais voir mes 5 bébés que mon mari a mis en cercle une salle ressemblant à une salle à manger. Je lui demande pourquoi il a choisi des noms aussi similaires et pourquoi il ne m'a pas demandé mon avis sur cela. Et je me suis réveillée.

Voila je suis assez troublée par ce rêve.

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2 militaires impressionnants

Un rêve de Zarchos envoyé le 31 janvier 2008

Cette nuit du 28/01/2008 au 29/01/2008 j'ai encore fait un drôle de rêve.

Comme toujours les rêves sont dans le domaine de l'étrange et cette fois-ci sur le militaire.
Je commence à comprendre que je suis dans un train... un drôle de train où il y a des militaires avec des vêtements de couleur bleue.

Le train s'arrête à un endroit qui est hyper éclairé, je ne sais pas si c'est sur terre ou sous terre.
Le train comporte des wagons remplis de militaires et aussi un wagon qui ressemble à un coffre fort.
C'est un wagon coffre qui apparaît de couleur bleue et le bras articulé de fermeture est de couleur rouge.

Un des militaires, qui doit être le chef, se met en position d'ouvrir le wagon coffre.
Il ouvre et là descendent 2 hommes monstrueux qui sont armée jusqu'aux dents.
Ils sont terrifiants, en descendant du wagon, ils font trembler le sol. Ils ne parlent pas et sont impassibles...

Le chef qui a ouvert la porte leurs donne des ordres et on voit aussi que les autres militaires regardent cela comme un phénomène jamais vu.
Ces 2 hommes mesurent environ 2.5 mètres de haut et sont larges comme 4 hommes. Ils sont impressionnants et ils sont musclés.

Le rêve prend fin au moment où il donne ses ordres à ces 2 hommes. Mais ces hommes ne sont peut être pas des hommes, possible que ce soit des machines qui ressemblent aux hommes.
Ou sinon c'est de la génétique pure et nous avons ici un model parfait du petit soldat.

Mais je pense franchement que ces hommes étaient en fait des machines parfaites...

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Mon mariage avec une rockstar

Un rêve de tam-rock envoyé le 8 novembre 2007

J'étais seule, le sourire accroché aux lèvres, dans une pièce blanche, comblée de robes de mariée. J'en avais essayé des milliers, toutes plus belles les unes que les autres, le choix était cruciale.

Même si je me souvenais clairement de la robe que je voulais porter pour ce jour si important, le petit détail, sans doute sans grande importance mais qui pouvait tout changer, ne me parvenait pas à l'esprit.

Bref, après mûre réflexion, je choisis enfin la robe de mes rêves : blanche en V, dessinant magnifiquement bien mes formes, très longue, avec un petit voile pour le visage, de longs gants blancs, une ceinture blanche et enfin de belles chaussures blanches à talons hauts. Cela m'allait tellement bien qu'on aurait dit un mannequin.

Le jour du mariage était arrivé, je m'étais préparé nerveusement car pour moi ce jour voulait tout dire.

J'avais enfilé ma robe et j'étais passée chez le coiffeur, j'étais belle : mes cheveux étaient relâchés, avec des boucles ornées de plusieurs perles blanches. J'étais maquillée tout simplement : du fard à paupières de couleur marron qui mettait mon regard en valeur, un peu de massacara, un trait de crayon noir sous l'oeil et au-dessus des yeux, une petite touche de gloss.

Mon ventre se nouait à chaque seconde qu'indiquait l'horloge surspendu au mur. Mon futur mari, lui, avait l'air de se porter à merveille, j'aurais tant aimé être aussi calme que lui.

L'heure arriva, nous allions enfin nous marier... Cependant, je sentais que ça allait partir en catastrophe, sans doute était-ce l'anxiété. Ma soeur m'emmena jusqu'au prêtre qui devait nous unir, mon futur époux se tenait alors devant moi, le sourire suspendu au visage, une lueur permanente dans ses yeux pétillait, il était heureux.

Mon époux était une rockstar, d'où l'affluence des journalistes autour de l'église. Il était connu dans le monde entier, j'adorais ses chansons surtout depuis que ses musiques s'adressaient à moi. Il chantait dans un groupe de quatuor. J'aimais être près de lui pendant les répétitions, c'était un réel plaisir. Il était maigre, la peau sur les os, tout comme moi, mais bon nous étions nés ainsi. Il avait de magnifique yeux marrons et une peau peu métissée.

Donc, je m'avançais vers lui, d'un pas hésitant, j'avais envie de me cacher, de fuir mais il me prit la main et m'emmena près de lui, rassurée j'eus un petit sourire. Il était si beau dans ce smocking, lui, qui d'habitude s'habille en rock & gothic... c'est aussi ce côté là qui m'attirais chez lui. Toutes les filles étaient jalouses de moi... Il avait 22 ans mais paraissait plus jeune. Il me passa enfin la bague au doigt, avant que je fasse de même.

Nous étions mariés, une fois rentrée chez moi, j'ouvris mon sac et plusieurs minuscules insectes si échappèrent.

Je me réveilla soudainement, un sourire radieux accroché à mes lèvres...

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Le matin ma première activité consiste à noter mes rêves

le 26 octobre 2007

Bernard Werber vient de sortir Le mystère des Dieux, il était en chat sur Metrofrance.com

Question de Rael: quelles sont vos sources d`inspiration?
Bernard Werber: En premier mes rêves. Le matin ma première activité consiste à noter mes rêves. Sinon j`ai des amis passionnés de philosophie, d`histoire, de science et nous échangeons nos visions. Enfin je lis le journal le matin au café avant d`écrire et cela me met en colère et me donne envie d`écrire pour répondre au monde... et puis pour le reste, ca vient un peu comme ça. Plus j`écris, plus ça vient souvent et facilement...

Question de mistouflette: Avez-vous peur de la page blanche?
Bernard Werber: J`écris depuis l'âge de 16 ans tous les matins. et j`en ai maintenant 46. Cela veut dire que cela fait 30 ans que tous les matins j`écris 4h30 de flot continue de récit. C`est devenu instinctif dès que je me mets face à l`ordinateur, mes personnages s`allument, ils commencent à courir et à parler. je ne contrôle plus le phénomène mais j`adore. Je suis tous les matins au cinéma de mon propre imaginaire. Et je sais que plus je m`amuse à écrire plus vous vous amuserez à me lire. Je n`ai jamais eu l`angoisse de la page blanche. Jamais. Merci mon dieu! Par contre j`ai l`angoisse de la surcharge, des fois j`ai trop d`idées et mes doigts n`ont pas la vitesse et la dextérité suffisante pour les noter toutes. Pourtant je tape très vite à la machine à écrire (et avec les dix doigts). Donc non pas d`angoisse de la page blanche.

Question de Lancelord: Vous écoutez de la musique en écrivant?
Bernard Werber: Oui dans mon rituel d`écriture, il y a évidement la musique. Je l`écoute au casque pour bien m`isoler et vivre les émotions de la musique. A la fin de chacun de mes livres, j`indique d`ailleurs la musique que j`ai écouté. Pour mon roman "Le livre du voyage" je me suis même offert le luxe d`avoir un créateur de musique de film qui fasse la musique du livre. Vous pouvez d`ailleurs l`écouter sur mon site bernardwerber.com rubrique musique. Sinon j`écoute surtout des musiques de film notament "Waterworld", "Dune", "Jonathan Livingstone le goeland", "le Seigneur des anneaux", "Last samourai"...

Question de Romain: Pendant la lecture de votre dernier roman je n `ai pas pu m`empecher de me demander qelles étaient les similitudes et differences entre vous, Michael et Raoul... Personnellement je préfère Raoul, mais vous, quel personnage vous ressemble le plus et pourquoi?
Bernard Werber: En tant que romancier je ne peux créer des personnages qu`en utilisant des facettes de ma propre personnalité. Je suis Michael ET je suis Raoul. Et je suis aussi Delphine, Aphrodite, Mata Hari et Edmond Wells. La grande difficulté pour moi est de créer des personnages noirs et durs. Par chance j`ai rencontre lorsque j`étais journaliste au Nouvel observateur des gens réellement toxiques c`est à dire destructeurs et avides de pouvoir. Je me sers de mes souvenirs de ma vie en entreprise auprès de ces personnes toxiques pour faire mes personnages noirs. Sinon quand je rencontre des "méchants" et il y en a aussi en dehors de l`observateur, je prends des notes pour faire mes "mes méchants" de roman. La qualité du méchant permet d`augmenter le suspense et de tenir les lecteurs en haleine. Quand j`étais à l`Obs j`ai rencontré des gens tellement toxiques que lorsque j`ai voulu en faire de personnages en retraçant leurs actes je me suis aperçus qu`ils n`étaient pas vraisemblables. la réalité dépasse la fiction il y a réellement des gens dont le seul plaisir est de gâcher la vie des autres. (c`est aussi pour cela que j`apprécie d`être libre et seul, sans avoir des chefs et des voisins de bureaux qui se tirent dans les pattes).

Question de Alvina: Je voulais savoir aussi, pourquoi vous choisissez le 3 octobre comme date de rencontre avec vos lecteurs et donc comme date de sortie de vos livres (très bonne date en passant, NDLR). Est-ce une date prise au hasard, ou a-t-elle une signification particulière pour vous?
Bernard Werber: Je choisis le 3 octobre, d`abord parce que c`est un repère facile pour moi, mon anniversaire étant le 18 septembre, en général j`ai donc le livre le jour de mon anniversaire. Ensuite le 3 octobre c`est pour laisser passer la curée de tous ceux qui courent après les carottes des prix littéraires. C`est une manière de dire "je ne souhaite aucun prix, je m`adresse directement aux lecteurs, pas à la cour littéraire parisienne". Enfin c`est une manière de communiquer par une date. Vous pouvez savoir quand le prochain livre sortira. Et le prochain sortira donc le 3 octobre 2008.

Question de MLH: Quand et comment écrivez vous ?
Bernard Werber: Tous les matins de 8h à 12h30. Maintenant, depuis 4 ans, au café au bas de chez moi, parce que j`ai besoin de voir des gens, avec le casque audio pour certaines scènes,( bagarre, amour, voyage) sans le casque pour les scènes de dialogue. J`écris d`une manière très fluide, il n`y a pas de réel instant d`arrêt. Cela coule comme un robinet. Par contre je fonctionne par version. Quand j`ai fini une version complète, je laisse reposer une semaine, et je refais tout à zéro sur le souvenir de cette version. Pour les fourmis j`ai écrit 150 fois le même roman en changeant des éléments complets de scénarios. maintenant j`écris en général une dizaine de versions. Mais par exemple pour le Mystère des dieux j`ai écrit 12 romans complets différents, avec 12 intrigues, et des personnages complètement changeants. c`est évidement un gigantesque travail mais c`est ma manière de faire. Peut être qu`un jour cela intéressera quelqu`un (une sorte d`archéologue) de retrouver toutes les versions d`un seul de mes romans. Pour le Mystère des dieux, j`ai testé plus d`une soixantaine de fins différentes avant de trouver celle qui est dedans. Finalement je n`ai pas l`angoisse de la page blanche, mais j`ai l`angoisse du choix. Un peu comme le jeu de mastermind, je teste plusieurs formules a moi de choisir celle qui conviendra le mieux pour vous ouvrir l`esprit.

Question de snoopy_1: Au final croyez vous ou non en Dieu?
Bernard Werber: Cela dépend des jours. Cela dépend des heures. Quand je trouve une place de parking à Paris je crois un peu plus en dieu. Tout à l`heure en venant chez Metro pour ce chat je n`ai pas trouvé de place, donc je crois un peu moins en dieu. Je me suis garé sur une place livraison en plein quartier des halles. Si ma smart est parti à la fourrière, je pense avoir une ou deux journées d`athéisme en perspective. Sinon merci d`être venu me poser des questions ici, et si vous le voulez je vous retrouve sur mon site bernardwerber.com pour de nouvelles aventures... a + BW

Je voulez vous faire partager cette interview pour plusieurs choses :
1. Bernard Werber est mon auteur préféré
2. Bernard Werber qui annonce qu'il note ses rêves en se levant le matin, bob ne pouvait pas le louper.
3. Ses livres sortent toujours le jour de mon anniversaire

Le masque de fer

Un rêve de Vie envoyé le 2 octobre 2007

J'ai rêvé que mon fils portait un masque de fer. Ce masque recouvrait tout son visage jusque sous le cou. Au niveau du cou, le fer était percé de plusieurs trous. A quelques mètres de lui, je le regardais, il me regardait sans mot dire. Je sentis une profonde détresse au fond de moi, une grande douleur. Vraisemblablement, il souffrait. Je compris que ces trous avaient permis de tracer sur sa peau des extraits du coran.

Je ne sais pourquoi, mais le mot coran s'imposa à moi en le regardant. A mon réveil, je me sentis très mal, très inquiète.

Mon fils est âgé de 11 ans et demi. Nous sommes des catholiques bâptisés. Notre famille ne connaît pas de musulmans ou ne se sont pas convertis à cette religion.

Qu'est ce que ce rêve peut signifier, s'il signifie quelque chose ?

Merci.

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Sordide conte de fées

Un rêve de ImNotDead envoyé le 17 septembre 2007

Préambule:
- Lieu: chez moi, dans mon lit.
- Conditions: Déprimée.
- Type de rêve: cauchemar, où les lieux et personnages défilent à la vitesse de la lumière.

Le rêve :
Tout commence dans un chambre assez sombre. Une vieille tapisserie avec des motifs à fleurs, un parquet en bois foncé, une grande armoire en bois massif, un lit deux places en bois lui aussi. Une seule petite fenêtre. Le temps est pluvieux. Je suis assise sur le lit en sous-vêtements. Dos contre le mur. Un homme est assis sur le bord du lit. Je ne voit de lui que son blouson de cuir et ses cheveux noirs. Il se lève et part. Quand la porte se referme, brusquement je me lève. J'hurle un "Je t'aime !"... La fenêtre s'ouvre, une rafale de vent glacial me fait tomber à terre. Ne sachant que faire et prise d'une angoisse terrible, je fixe cette fenêtre en pleurant. Un papillon entre. Intriguée, je le regarde voler devant l'armoire. Prenant mon courage à deux mains, je me relève, et m'approche du meuble. J'entends venant de l'intérieur la mélodie d'une boîte à musique de ma grand-mère. Espérant trouver cette boite, j'ouvre. Et là je vois une poupée de porcelaine, elle a de longs cheveux blonds, des yeux d'un vert magnifique, une petite bouche rouge, une robe blanche, et des chaussons de danse. A coté d'elle un miroir. Je m'en empare, et me regarde. Ma peau était plus blanche qu'à son habitude. La musique s'arrête, et une voix de petite fille me dit "Il est parti, que fais-tu encore ici idiote ?". Sans comprendre pourquoi je balance la poupée de porcelaine par la fenêtre, et je me met à rire. Puis je sort de la chambre.

Sans transition, j'atterris dans une voiture (je n'ai pas le permis dans la réalité, d'où ce trouble). En ville, il y a du monde partout, je roule vite pourtant. A un feu de croisement, j'accelère pour passer avant le rouge, mais une couleuvre tombe du plafond sur mes cuisses. Je saute de l'automobile. Elle disparait, sans faire d'accident. Choquée au milieu de la route, je regarde autour de moi cherchant de l'aide mais personne ne semble me voir. Sauf mon arrière grand-mère paternelle (défunte). Elle me dévisage, puis me caresse la joue tendrement, sans me parler, et me montre une rue. Je la remercie d'un signe de tête, et me met à courir dans cette ruelle, froide, étroite, sinueuse. J'en vois enfin le bout.

Je débarque sur une place de village. L'ambiance y est un peu plus chaleureuse, les dames coiffées de chapeaux à plumes et de majestueuses robes, comme au moyen-âge, me saluent, les hommes s'écartent pour me laisser passer. Malgrés ces intentions d'apparences amicales, je ne peux m'empêcher d'avoir peur, et de me sentir seule. Je serre dans ma main une bague que je porte comme un pendentif. Assise près de la fontaine de ce village, (représentant un cheval cabré) je vois ma grand-mère paternelle, défunte elle aussi. Elle me fait signe de venir. Je me précipite à ses côtés. Soulagée de voir quelqu'un que je connais, je me décrispe, et m'asseois. Ma grand-mère, frôle l'eau avec ses doigts décharnés, j'aperçois au fond de l'eau une pièce. Je me baisse, la pièce scintille, je me sens de plus en plus attirée par cette brillance, je sens les mains de quelqu'un me pousser dans la fontaine. Au lieu de tomber dans l'eau et d'en ressortir mouillée et véxée, je suis aspirée par un tourbillon.

Assez vite, je tombe devant une église. Je suis apparemment revenue dans la ville de tout à l'heure. Aux portes de l'église ma grande soeur m'attend. Je lui demande ce qu'elle fait là. Pour unique réponse un signe de tête me montrant l'église. Enervée de ne pas avoir de réponse je lui repose une nouvelle fois la question. Elle me répond "Vite, il va le dire !". J'entre dans l'église. Un mariage se déroulait. La mariée était sublîme, une robe bordeaux et crème, un corset de soie brodée, une jupe longue. Dans ses cheveux relevés en chignon serré un pique représentant un papillon en diamant. Je cours encore, vers eux cette fois-ci. J'arrive à crier "Non !!". Mais encore une fois personne ne m'entend. Je suis enfin à coté du marié. Je ne vois que ses lèvres en gros plan. La mélodie de la boite à musique résonne quelques secondes dans ma tête. Puis je sussure ces phrases au marié (je ne peux que m'en souvenir, n'étant pas une fille romantique... dire ces phrases dans un rêve à un homme qu'on ne connait pas reste gravé) :

Je t'aime plus que jamais, de ton souffle tu m'as redonné la vie, ne me la reprend pas. Ne vois-tu pas que tu es né pour vivre à mes côtés, que je suis née pour t'épouser?! Et tu sais pourtant que si l'éternité existe je t'y aimerai aussi.

Il ne m'attendait pas non plus. La cérémonie se déroulait dans le plus grand calme, la mère de la jeune fille essuyait ses larmes de joie, et moi assise à coté du marié j'essuyais les miennes. Les portes de l'église s'ouvrirent à nouveau. Une ombre entre, se dirige vers moi. La mort en personne vient me chercher. Je n'étais plus effrayée, plus rien ne comptait puisque j'avais perdu celui que j'aimais.

Je suis allé voir cette forme capuchonnée. Sa faux trainait derrière lui, je l'attendais patiemment, sans crainte. Puis il a tendu le bras. Un long bras, osseux, sa main avec ses ongles encrassés a caressé la mienne. Puis il a enlevé son capuchon, et là je découvre le visage de ma mère. Elle pousse un cri strident, ses yeux exorbités me fixent. La peur toujours cette fichue peur me fait courir vers une porte derrière le curé, juste en dessous de la statue de Jésus.

Un cimetière, il y avait du brouillard, les tombes de marbres me flanquaient des frissons dans le dos. Cette fois ci je me retrouvais belle et bien seule. Enfin c'est ce que je croyais. J'ai entendu un hennissement, puis vu ma meilleure amie sur un cheval noir, elle en tenait un à coté d'elle. Elle m'invite à venir. J'enfourche donc ma monture, et pars dans un galop revitalisant. Laissant mon amie. Le bonheur que me procurait cette balade me faisait oublier le cadre sinistre. Jusqu'à ce que mon père saute de derrière une tombe, faisant cabrer mon cheval. Je tombe. Le cheval et mon père aussi. Agenouillée dans la boue, je tremble. Je ferme les yeux, imaginant que cette situation n'est qu'un petit cauchemar et que je vais me réveiller. Ce sont les bruits de pas s'approchant de moi qui me ramènent à la réalité. Un homme debout avec un masque blanc, je tend la main. Sans chercher à comprendre qui il était, ni ce qu'il faisait ici en costume, j'ai saisi sa main, et me suis blottie contre lui.

Quand je rouvre les yeux, je ne suis plus dans le cimetière, mais dans la chambre, de nouveau assise sur le lit. Regardant de nouveau cette homme, mais cette fois-ci je ne l'ai pas regarder partir sans rien faire. Quand il s'est levé, j'ai saisi sa main, et je lui ai dit que je l'aimais. Il s'est retourné, et j'ai reconnu cette homme dans le cimetière, et celui aussi du mariage, mais toujours avec un loup blanc cachant la moitié de son visage, on ne voyait toujours que ses lèvres... plus attirantes que jamais. Juste quand j'allais poser les miennes dessus...

Je n'ai pas pu finir mon rêve, et voir qui était cet homme que je semblais aimer plus que tout.

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C’est peut être le paradis

Un rêve de benpor58 envoyé le 5 septembre 2007

Préambule :
J'ai bientôt cinquante ans, dans ma vie, plutôt dans des moments de doute ou d'inquiétude, il m'est arrivé de rêver plusieurs fois de cet endroit.

Mon rêve :
Il s'agit d'un lieu, qui ressemble à la fois à une grande place avec des bâtiments à colonnes, arène, etc. (style forum romain) et à une station de transit voyageurs. La dernière fois que j'ai rêvé de cet endroit, il y à quelques jours, il y avait beaucoup de monde avec des gens qui faisaient la queue ou attendaient de partir, comme dans un aerogare, avec des bus d'où descendaient les gens et qui s'engouffraient dans un espèce de tunnel de parking souterrain, d'autres avec des costumes ressemblant à des tenues religieuses qui débataient dans l'arène et d'autres qui faisaient la circulation.

J'ai gardé et je garde encore ce rêve en tête avec les détails presque réels. Je me souviens d'être arrivé là avec ma voiture et j'étais coincé par un des religieux qui m'a stoppé en me faisant signe de me garer allieurs. Je suis descendu du véhicule pour chercher une place à pied, j'ai même rencontré un cousin en uniforme de policier en grande conversation avec mon beau frère. Le temps de revenir à mon véhicule celui-ci avait disparu certainement enlevé par la fourrière religieuse, bien sûr. C'est là que se termine le rêve!

Ce que j'en pense :
Comme je vous le disais, ces lieux me sont très familiers, je suis sûr d'avoir déjà vu tout ça, avec beaucoup moins de monde dans d'autres temps d'autres saisons. J'ai l'impression de connaître les moindres recoins. J'ai comme l'impression qu'il s'agit d'un lieu saint étant donné le présence des religieux et religieuses en grand nombre, comme le vatican mais je connais très bien le vatican et cela ne ressemble pas du tout à ça. La scène me fait plutôt penser au jugement dernier ou l'on voit des personnes faire le tri des bons et des méchants. Après tout, c'est peut-être cela le paradis, qui sait ?

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Rencontre dinosauresque

Un rêve de Hayden envoyé le 27 août 2007

Le rêve commence quand j’atterris, je ne sais comment, à côté d’un pont, en pleine forêt amazonienne. Il y a ce pont en ciment, et autour il n’y a que les arbres, les lianes, les grandes herbes… L’espace autour du pont est assez dégagé sur quelques mètres ce qui me permet de marcher. Je fais quelques pas et je vois le visage de ma mère qui apparaît dans un nuage, puis qui s’efface sans que j’ai le temps de lui parler. Apparemment je n’y prête pas grande attention et je continue de marcher. Je remarque des débris empilés sous le pont alors je décide d’aller voir ça de plus près.

Et là, j’entends un bruit peu rassurant qui vient de derrière, je me retourne et me rends compte que quelque chose approche. Je vais donc me cacher dans les débris, il y a des cartons et des planches. Je regarde à travers ma cachette et que vois-je ? un dinosaure bien sûr ! et qui approche dans ma direction. A cet instant, je ne respire plus tellement j’ai peur, et j’attends que la bête s’en aille en m’effaçant le plus possible. Il tourne un peu et un deuxième arrive. Là c’est horrible ! Et pourtant, ils disparaissent au bout de quelques secondes. Tant mieux mais je reste un petit moment dans mes cartons, au cas où…

Puis j’ai une absence, je me retrouve en pleine forêt et le pont a disparu. J’avance tranquillement jusqu’à tomber sur une plantation. Il y a plein de petites haies, lesquelles entourent les fameuses plantations. Il y a des gens avec des paniers, des villageois apparemment. Je m’approche et je constate qu’il s’agit d’une culture de fraises. Je marche entre les plants et je commence à leur parler. Tout se passe bien et ils me proposent de les aider à ramasser les fraises, ce que je fais.

Soudain, le cri d’un dinosaure se fait entendre à proximité. Je me retourne mais je ne le vois pas. Je me retourne de nouveau et je constate que tous les villageois se sont enfuis et que je suis toute seule au milieu des fraises. Je tente de savoir d’où vient la créature mais comme je n’y arrive pas je commence à courir, puis finalement je décide de me cacher dans une haie. J’attends, mais comme j’en ai marre, je me relève, et là je suis face à face avec le dinosaure. Alors qu’il n’y a plus rien à espérer, une chose très surprenante se produit. Le dinosaure tend sa patte vers moi et me demande de l’aider à ramasser les fraises. Je serre donc la main du dinosaure et on ramasse les fraises tous les deux.

Fin du rêve!

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Mariage original

Un rêve de Florent envoyé le 20 août 2007

Préambule :

  • Dans quel lieu : chez moi dans mon lit
  • Dans quelles conditions : En fait j'ai fait le rêve après m'être réveillé au cours de la nuit et n'avoir pas pu dormir de 6h à 7h du mat!
  • Type de rêve : rêve assez farfelu


Le rêve
:

Mon rêve se passe tout d'abord dans une église. Cette église ressemble assez à une église proche de chez mes parents. Je suis avec ma copine, deux couples d'amis très proches, plus d'autres mais je ne vois plus trop lesquels... Je suis en costume normal mais sans cravate! Nous montons vers l'église quand nous voyons une sorte de petite voiture, style Express, arriver avec à l'arrière la mariée en robe de mariée bien entendu (mais cela doit être précisé vu la suite des évènements). Un de mes amis prend des photos, puis nous rentrons. En entrant une amie me fait un compliment sur la pochette situé dans la poche de ma veste. En guise de pochette, c'est une cravate! Et j'ai aussi une cravate dans la poche... L'église semble en travaux, il n'y a pas beaucoup de monde dans l'église et cela a l'air assez désordonné. La messe commence. Le mari est dans une tenue assez particulière puisqu'il porte un tee shirt manche longue et un short... La cérémonie commence et en fait il nous passe un film assez space mais là ma mémoire me fait défaut. De toutes les manières, ce mariage est très original!

Après nous devons aller au repas. Mes parents sont là! (mais qu'est-ce qu'ils foutent là!!!) Ils ont acheté un nouvel appart dans une ville non loin de l'église. Je les accompagne jusque là-bas car ils doivent repasser chez eux récupérer quelque chose. Puis je repars avec mes amis. Nous arrivons dans une sorte de galerie commerciale. L'accès au restaurant est assez compliqué car déjà il faut encore monter pour y accèder. Et à l'étage on n'a pas la place de passer. En gros, il y a une barrière pour nous empècher de tomber (jusqu'ici cela semble me logique) mais le sol n'est pas plat et c'est une sorte de lambris penché sur lequel nous devons avancer. Enfin nous arrivons. Je passe devant un escalier où une grand-mère galère pour arriver à monter et un petit me tire sur le caleçon (ces personnes m'ont l'air familière). Ensuite je vois ma belle-mère (mais putain, ils sont tous là ou quoi!) qui arrive avec une petite fille qui m'a l'air également familière. Et là je sors de mon sommeil!

Ma petite analyse :

Je pense que mon rêve est une sorte de reprise de ce dont on a discuté hier avec ma copine et de ce qu'on a fait dans la journée : on a regardé le site du mariage d'un des couples d'amis, on a parlé de l'autre couple d'amis, j'ai eu ma mère au téléphone, on a dit avec ma copine qu'il devrait s'acheter un petit appart au bord de la mère où ils vont toujours en vacances et on a eu aussi mes beaux-parents au téléphone. Mais quand on rassemble tout ça pourquoi cela donne ce rêve assez farfelu ? Mystère...

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Rêve ou réalité ?

Un rêve de Alex envoyé le 17 août 2007

Je suis allé voir récemment l'excellent film "Les chansons d'amour" une comédie musicale avec Ludivine Sagnier et Louis Garrel. J'avais aimé en particulier la manière dont le réalisateur filmait Paris et ses rues animées. Je me souviens avoir pensé pendant la projection : "Ca, c'est Paris tel que je le connais !"

J'en ai parlé samedi soir à un ami, qui m'a confié avoir lui aussi beaucoup apprécié le film.

Dans la nuit de samedi, vers 4 h du matin, je me réveille après un rêve assez intense. Je ne me rappelle pas du détail du rêve (c'est très rare que ça m'arrive). Je me souviens seulement de la fin de mon rêve, où je me retrouvais avec cet ami dans un des lieux du film. C'était une rue très particulière avec des maisons possédant un étage à moitié enfoui, à moitié émergé. Depuis la rue on pouvait voir, par des grandes baies vitrées situées au ras du trottoir, les bureaux où travaillait un des personnage du film. L'un des personnages regardait dans un bureau par la fenêtre, puis se rendait compte que la personne qu'il recherchait arrivait dans la rue. La scène était identique dans mon rêve, sauf que bien sûr nous remplacions les acteurs (et que nous ne chantions pas comme dans le film ;-).
Cette image était tellement forte que j'ai eu beaucoup de mal à me rendormir, et je me disais : "il faut que j'aille à cet endroit !"

Le lendemain, une des premières choses que j'ai faite a été de rechercher sur Internet les lieux du tournage du film.
Surprise ! La plupart du film avait été tourné pas loin de mon quartier ! En particulier la fameuse rue de mon rêve se trouvait à 200m de chez moi !

Pendant que j'y étais... j'ai donné rendez vous quelques jours plus tard à mon ami. Je lui ai parlé du rêve, mais sans lui dire que je l'avais vu dedans. Nous avons repéré les lieux du tournage, en particulier cette fameuse rue, reproduisant ainsi mon rêve !

C'était vraiment troublant !

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Notez les rêves

le 15 août 2007

Il est maintenant possible de noter les rêves sur Bob les songes. Aussi vous trouverez en bas de chaque rêve, un système de notation par étoiles, vous pourrez alors attribuer de 1 à 5 étoiles pour un rêve.

Rêver de voyage

le 14 août 2007

Comment interpréter le fait de rêver de voyage :

  • rêver de voyage : décision irréfléchie
  • faire un voyage scientifique : joie
  • rêver d'un voyage passé : amis pas vus depuis très longtemps
  • faire un voyage à pieds : affaire importante
  • faire un voyage en calèche : bonheur constant
  • être accompagné lors d'un voyage : commérages
  • faire un voyage maritime : connaître des contrées lointaines

Je ne l’ai croisé qu’une fois et pourtant…

Un rêve de malou envoyé le 13 août 2007

Préambule :

Vous est-il déjà arrivé de faire un rêve qui vous marque pendant plusieurs jours? Et bien, pour ma part et aussi étrange que cela puisse paraître, j'ai fait un drôle de rêve il y a trois jours et je m'en souviens encore aujourd'hui presque comme si je l'avais vraiment vécu! D'autant plus surprenant que je suis comme la plupart d'entre nous à savoir qu'habituellement je ne me souviens pas de mes rêves. Allez, je vous raconte...

Le rêve :

Je crois que j'étais au travail. Ce que je faisais comme boulot? je ne sais pas mais à priori j'avais des clients derrière un comptoir. Je parle avec l'eux d'entre eux, il ne me semble pas avoir vu un visage familier mais pourtant il porte ou je lui donne, là non plus je ne sais pas, le prénom de quelqu'un que j'ai croisé lors d'un week-end chez des amis il y a quelques semaines. En une fraction de seconde, je me retrouve dans un petit village du Sud à jouer aux cartes avec lui et des inconnus, voyez, un peu le genre d'après midi à la Marcel Pagnol, je ne sais combien de temps cela a duré.....

Nouveau départ, nouveau décor, je me retrouve maintenant en Toscane, au milieu d'un grand repas de famille (peut être un mariage?!). Je repars ensuite pour l'Afrique noire puis l'Amérique du Sud, Cuba, la Polynésie, l'Asie.....

Comme vous venez de le comprendre, mon rêve et mon mystérieux guide m'ont fait faire le tour du monde. C'est génial car je me souviens des décors. En réalité, je connais certains de ces pays ce qui a surement aidé ma mémoire à me transposer dans tous ces lieux.
J'ai vécu des petits moments de vie au milieu des populations locales et je sais que lorsque je me suis réveillée je me sentais très heureuse.

Comment se finit l'histoire? Où ai-je quitté mon guide? Je n'en ai aucune idée, par contre si quelqu'un parmi vous sais comment et ou le retrouver, je veux bien le mode d'emploi car cette nuit là j'ai "vécu" un véritable rêve!

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Ma valise…

Un rêve de Florent envoyé le 10 août 2007

Préambule :

  • Dans quel lieu : chez moi dans son lit
  • Dans quelles conditions : En fait j'ai fait le rêve après m'être réveillé au cours de la nuit, j'avais l'impression d'être dans un demi-sommeil
  • Type de rêve : rêve passé...

Le rêve :

Mon rêve se passe dans un aéroport. Alors ça ne ressemble ni à Roissy, ni à Orly ni vraiment à un aéroport car ça ne ressemble pas un aéroport...

Je suis avec ma copine et nous sommes à une sorte de guichet afin d'attendre nos bagages... Pourquoi un guichet et pas à un tapis déroulant, j'en sais fichtre rien... Enfin bon, nous attendons tranquillement quand tout d'un coup la personne devant commence à s'en prendre au groupe derrière nous (à priori une même famille) et s'engueule sans que je me souvienne la raison. Mais ce qui est très fort , c'est qu'il s'insulte en patois corse !

Après cet épisode, nous décidons d'aller récupérer notre valise au tapis roulant mais dans cet aéroport, les tapis sont assez particuliers car au lieu de faire un serpentin, le tapis est en ligne droite un peu comme un tapis de caisse de supermarché mais bizarrement il n'y a pas d'amas de sacs et valises...

Ne voyant toujours pas notre valise arriver, nous décidons d'aller à un autre tapis roulant, celui-ci est classique et est en serpentin. Nous regardons mais nous ne voyons toujours notre valise à l'horizon. Nous demandons donc à une personne de l'aéroport avec notre coupon de valise et ce qui est étrange c'est qu'il me manque un autre bagage à main mais que cela ne me dérange en aucun point. Bref, la personne nous dit que notre valise est arrivée et qu'elle se trouve sur le tapis. Il vient avec nous et lorsqu'il nous la montre, celle-ci a diminué de volume de moitié est entrouverte et ne contient pas nos affaires....

Ce rêve est assez étrange car cela ressemblait dans l'ensemble à un week-end à Madrid que nous avons fait fin juillet mais nous n'avons eu aucun soucis de valise...

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Patchwork

Un rêve de Kara envoyé le 9 août 2007

Aujourd'hui, uniquement quelques bribes de rêve. C'est confus, décousu et je devais être sacrément dans le coltard quand j'ai pris mes notes car elles ne sont pas évidentes à décrypter, sans compter qu'elles ont été prises il y a déjà quelques jours... Malgré tout, je me suis aperçu que j'avais tout de même réussi à y glisser une petite blague !

Tout commence alors qu'on discute avec David G et Seb H, David nous fait pendant 2 plombes l'éloge d'une fille qui se trouve pas très loin de nous. Le coin ressemble à un campus, beaucoup de jeunes gens qui parlent, rigolent, se regroupent à plus de trois dans des halls. Bref c'est vivant. On s'étonne donc pas quand David M arrive sur cette espèce de place ou d'esplanade, et se fait copieusement tirer dessus au pistolet à billes par une jeune fille malhonnête et assistante de professeur (je retranscris exactement ce que j'ai sous les yeux). Oui tout ça se passe dans l'indifférence la plus totale. Si bien que mon cousin qui passait par là et s'arrête pour me dire bonjour ne m'en parle même pas. Non il me parle des nouvelles lois d'immigration aux Etats-Unis, il doit y emménager très bientôt et il vient de s'apercevoir qu'il ne remplissait pas les nouveaux critères. Autant dire qu'il est dans la merde le pauvre ! Mais dans ce rêve, pas le temps de s'apitoyer sur son sort puisqu'un flash d'information vient nous indiquer que "Les pistolets à billes c'est important. On tire sur des trucs pas pour rien." Le temps du flash et je me retrouve sur le quai du métro du campus. Mon train arrive, je monte et enjambe plusieurs voyageurs pour pouvoir aller m'installer plus près des WC. Le trajet est plutôt calme, je me demande à quoi ressemble le plan du réseau... Ma rêverie est interrompue par un coup de fil : on m'annonce que l'avion du professeur devrait bientôt se poser, on m'assure qu'il parle bien anglais et que par conséquent il atterrira dans un autre aéroport. Rien n'a d'emprise sur moi aujourd'hui, cette nouvelle ne me fait ni chaud ni froid.

Je suis presque à ma station. Allez savoir laquelle ?! Mon instinct me guide, je rejoins les autres dehors. David M se fait toujours tirer dessus, il tente bien de se cacher derrière une espèce de sumotori mais rien n'y fait, étrange. On continue de marcher tranquillement autour d'un stade, en papotant. La gâchette folle n'a pas fini de se déchaîner et tire désormais sur de petites cibles au loin... du bicathlon version paintball peut-être ? Et ça dure un bon moment ! Du coup on fini notre tour de stade et en repassant par notre point de départ, on retrouve David M les doigts en sang, victime d'une énième attaque de peinture propulsée à quelques 300 km/h. Et on s'inquiète pas une seconde.

C'est flou, c'est fou, c'est un rêve pris en note en pleine nuit.

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Survie en milieu hostile

Un rêve de Kara envoyé le 8 août 2007

Une ballade dans les bois. On est trois : mon père, Sébastien H. et moi. Une promenade tout ce qu'il y a de plus normal, on avance tranquillement, ça discute, ça rigole, y a des combats à l'épée entre mon père et moi... Et oui, étant gamin, je l'ai toujours harcelé pour qu'il taille des bâtons dans les noisetiers qu'on croisait histoire qu'on puisse jouer aux trois mousquetaires. Bref, une ballade classique, dans les bois.

Le moment où je me suis dis qu'il y avait un souci, c'est quand je me suis mis à sortir mon laptop, un routeur wifi et du câble. J'avais apparemment trouvé un gisement de réseau sans-fil au beau milieu de la forêt ! J'installe donc avec soin tout ce matériel. Quand je dis "avec soin", ça signifie que si la survie de Stallone dans le 1er Rambo avait été dépendante de la discrétion de son installation de son réseau en pleine forêt, il n'aurait été guère mieux camouflé. Même Les Experts de Miami, New-York et Las Vegas réunis n'y auraient vu que du feu. Bien sûr, ça prend des plombes et pendant ce temps-là, mon père et Seb tourne en rond dans la forêt pour produire de l'électricité. Et étonnamment, ça à l'air de marcher... Une fois la preuve faite que l'on peut lire ses mails à l'ombre des sapins (hé ouais c'est une forêt de sapins), on se remet en marche pour rentrer avant qu'il ne fasse nuit.

En arrivant à ce qu'on pourrait considérer comme un refuge s'il était situé à 3000 mètres et pas à seulement 8 ou 900 comme ici, on tombe sur d'autres marcheurs à qui l'on dit bonjour parce qu'on est poli et que l'on va passer la soirée avec eux donc ça serait dommage de se fâcher d'entrée de jeu. Et puis vous savez, il y a une grande fraternité en "montagne". Je vous avouerai qu'une des marcheuses ne me laisse pas indifférent mais je tue tout de suite le suspens et je vous apprends que rien ne se passera... malgré l'épisode du lendemain matin ! En effet, je me lève et file prendre ma douche; et c'est là qu'on voit que les rêves sont étranges, je ne vais ni aux WC, ni manger avant. J'arrive donc à la salle de bain pour m'apercevoir que la douche est déjà prise mais on me fait heureusement signe qu'il y en a une autre juste derrière. La deuxième salle de bain mériterai presque un dessin pour expliquer à quoi elle ressemble mais j'ai la flemme donc je vais vous en faire une description, c'est comme un dessin mais avec des mots dedans. Alors imaginez qu'on ai installé une cabine de douche sur un lavabo. Il faut donc grimper une marche de plus d'un mètre pour accéder à la douche. Et comme c'est un lavabo à la base, forcément il y a un miroir juste au-dessus mais contrairement à la plupart des salles d'eau que je connais, ici une partie du mur soutenant le miroir est en verre et donc transparent. Et sur quoi donne cette fenêtre ? Sur l'autre douche bien sûr. Et qui est en ce moment dans cette douche ? Bien entendu la jeune fille de la veille. Quoi de plus normal ? Enfin tout ça ne va quand même pas m'empêcher de prendre ma douche, surtout que j'en ai grandement besoin ! A noter que dans mes rêves, il semble que j'ai des tendances exhibitionnistes... Ce qui ne veut pas dire que je ne consent pas à jeter de furtifs coups d'oeil à ce qui se passe dans la douche adjacente. Et discret comme je suis, je ne tarde pas à me faire remarquer. Tout ça dure tout de même un bon bout de temps si je me souviens bien. Mais arrive malgré tout le moment où elle sort de sa douche en me lançant un magnifique sourire, soit dit en passant. Plutôt content de moi, je fini vite de me laver et je rejoins mes compagnons de route. On dois se remettre en chemin ce matin.

On ouvre la porte du refuge et à notre totale absence de stupéfaction, on est en fait à Cairns, Queensland, Australia. Comment je peux être aussi précis ? En fait c'est très simple, en sortant on se retrouve nez à nez avec Cyrille D. un ami à moi qui il y a un an est parti en Australie avec Mathieu V., mon ex-colocataire, pour faire le tour du continent. Et en ce moment ils sont à Cairns d'où mon habile déduction. Cyrille nous fais visiter la ville en nous expliquant que Mat lave des voitures (comme en vrai) et que lui n'a pas trouvé de boulot pour l'instant donc il a monté un site (dont le motif en fond à failli me faire faire un cauchemar) pour promouvoir sa future activité de professeur. Professeur de quoi, je ne sais pas mais à l'entendre, il est très sérieux : il estime qu'il doit être sévère parce que ses cours ne sont pas une garderie même si ça paye pas mal. Tout en discutant, il nous emmène vers les locaux qu'il loue pour recevoir les enfants et c'est petit mais petit ! En fait c'est un couloir !! Mon regard se perd sur le carrelage qui recouvre les murs du couloir et du bruit dans l'appartement m'extirpe de ce rêve.

Je me roule tant bien que mal jusqu'au bord du lit et commence à prendre des notes. Au fur et à mesure que j'écris, je me rends compte que tout ça n'est pas fortuit : j'ai eu mon père au téléphone hier soir, je bataille (oui, je bataille, je bataille !) avec mon réseau wifi à la maison depuis plusieurs jours, j'ai eu des nouvelles de mes australiens encore hier soir, etc. On m'avais déjà informé que je parlais la nuit, que je réglais mes comptes de la journée mais je ne pensais pas que mes rêves étaient aussi influencés par ce qu'il m'était arrivé la veille...

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Rêver de chaussures

le 7 août 2007

Comment interpréter le fait de rêver de chaussures :

  • avoir de vieilles chaussures : perte d'un crédit
  • avoir des chaussures neuves : partir en voyage très loin
  • voir des chaussures vernies : deuil
  • mettre une paire de chaussures : aimer les sorties, avoir envie de sortir
  • mettre une paire de chaussures trop étroites : être conditionné par ses angoisses, ce qui rend la vie difficile.
  • porter des chaussures neuves et confortables : annonce profit pécuniaire et matériel
  • raccommoder des chaussures : mauvaise situation matérielle
  • acheter des chaussures : voyage en vue
  • nettoyer des chaussures : bons revenus
  • cirer des chaussures : plaire aux gens
  • perdre la semelle de sa chaussure : une situation désagréable.
  • voir des chaussures de femme : bonheur en amour et réalisation possible de désirs plaisants.
  • rêver de chaussures de sport peut signifier que avoir besoin de soigner son aspect physique
  • Dans le cas où un homme rêve qu'il porte des chaussures de femme, il se peut que ses tendances à l'homosexualité ou au fétichisme s'expriment à travers ce songe.

Hé ho, je m’en vais au boulot !

Un rêve de Garf envoyé le 6 août 2007

Préambule :

J'ai fait ce rêve chez moi samedi matin à 6h00 (oui c'est tôt mais je me suis rendormi). La scène se passe à mon boulot du coté de Chappes (France - Puy-de-Dôme - 63).

Le rêve :

Comme tous les matins, je me rends à mon travail en voiture mais ce matin là, avant de tourner dans l'enceinte de la boîte, je remarque qu'il y a des travaux.

Le lendemain, j'ai du mal à reconnaître l'endroit où je travaille, je tourne alors dans ce que je crois être mon entrée, or il y a plein de camions qui tournent au milieu d'entrepôts. Je me dirige vers mon parking, le sol est très boueux car il pleut des cordes. Une fois arrivé au bout, je me rends compte que je n'ai pas pris la bonne entrée vu que mon parking se trouve de l'autre côté du grillage.
Je fais donc demi-tour, mais là tout se gâte, un camion décharge en plein milieu du chemin. J'essaye quand même de passer à coté alors qu'il n'y a pas du tout la place, et forcément ça ne passe pas. Heureusement, le camion super sympa, recule pour me laisser passer (les routiers sont sympas même dans les rêves). Juste avant de sortir et d'arriver sur la route, je m'embourbe subitement dans une énorme marre de boue. Pour en rajouter, le camion sympa me passe à côté et me pousse un peu plus au milieu de ma marre (là il devient beaucoup moins sympa). Mais là, malin comme je suis, je décide de pousser ma voiture. Je sais pas trop comment, mais toujours est-il que j'arrive la déplacer et à la guider tout seul au milieu de la boue. Pendant que je pousse je me rends compte que je suis avec mes petites tennis Adidas blanches (oui c'est pas de bol mais ces chaussures existent vraiment, c'est les miennes dans la vraie vie) mais c'est là que les rêves sont géniaux ... elles sont juste mouillées et pas sales du tout, pourtant je viens de pousser une Fiat Uno dans la boue pendant au moins une dizaine de mètres.

J'arrive finalement dans mon parking toujours sous les trombes d'eau, je me gare à côté d'une moto, une harley (il y en a toujours une sur le parking de mon boulot) qui est stationnée près d'un mur. La tempête redouble alors et le vent fait tomber cette moto, forcément j'ai peur pour la mienne sur le coup - oui maintenant dans mon rêve j'ai une moto (j'ai jamais eu de moto dans la vraie vie) - Je n'ai pas envie qu'elle se retrouve à terre, alors je prends une planche et je l'appuie sur le mur pour pouvoir mettre ma moto dessous, comme ça elle est protégée (même dans mes rêves je suis malin).

Voilà je peux enfin aller au travail sans souci.

Pour expliquer la tempête et la pluie, ça ressemblait beaucoup à l'ouragan dans l'épisode des Experts Miami de jeudi soir.

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La boucle est bouclée

Un rêve de Flo envoyé le 3 août 2007

Rêve fait chez moi peu avant mon réveil (trop) matinal.

Je termine la visite d'un château en saluant un gardien. A la sortie se trouve un marchand de pâtisseries marocaines auquel j'achète un chebbakia (pur délice auquel je n'ai pas touché depuis des années).

Changement de décor.

Je suis chez moi (ça ne ressemble en rien à chez moi mais c'est chez moi) dans le couloir. Mon frère sort furieux de sa chambre car il réceptionne très mal la télé. Il disparaît. J'entre dans sa chambre pour lui dire que ça vient très certainement de Wanadoo (on est chez Free..) et je m'aperçois que je viens de le réveiller.
Dans ma chambre, je me rends compte que le problème vient du fait que le fil de mon récepteur télé (sous la forme de mon lecteur de cartes) est trop tendu. Quand je le touche ça brouille plus ou moins la télé. Mais je ne peux rien y faire et n'ose aller avouer ma faute.

Re changement de décor.

Je suis devant la télé avec d'autres personnes dont mon frère. C'est le JT et on y voit des images d'une manif à Clermont. Mon frère est au premier plan. Tout le monde s'exclame. Je reconnais dans la foule un de ses "collègues" et lui demande, toute fière, si ce n'est pas XXXXX XXXXXX XXXXX (un nom en trois parties complètement inventé dont je ne me souviens évidemment pas). Il confirme mais je perds toute crédibilité lorsque l'on s'aperçoit que le nom dudit collègue est inscrit en gros sur son tee-shirt.

Tout le monde se retrouve dans la manif qui prend fin dans un parc. Je crois distinguer une ancienne amie. Je crie plusieurs fois son nom tout en me dirigeant vers elle. Arrivée plus près, je réalise que ce n'était pas du tout elle. Je me tourne alors un peu honteuse vers ma mère et lui dit que peut-être l'amie en question est présente et qu'elle a assisté à toute la scène. C'est évidemment le cas... Elle se trouve de l'autre côté d'un long grillage. Je repars avec ma mère et on retrouve cette amie, accompagnée de deux personnes, après avoir contourné le grillage. Elle est très très bronzée et porte un rouge à lèvres très clair.

Tout le petit groupe reprend la route. On longe une rivière puis on passe une petite porte pour se retrouver dans un escalier gris, très étroit et sombre, bordé de murs de pierres. Après avoir arpenté quelques ruelles du même genre, je prends conscience que l'on vient de traverser le même château que j'avais visité la veille.
Je repasse devant le gardien en pensant qu'il doit trouver que l'on vient souvent.
A la sortie je rachète 5 chebbakias car on va manger chez mes grands-parents et regrette immédiatement de ne pas en avoir pris un de plus à manger sur-le-champ.

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