Patchwork

Aujourd'hui, uniquement quelques bribes de rêve. C'est confus, décousu et je devais être sacrément dans le coltard quand j'ai pris mes notes car elles ne sont pas évidentes à décrypter, sans compter qu'elles ont été prises il y a déjà quelques jours... Malgré tout, je me suis aperçu que j'avais tout de même réussi à y glisser une petite blague !

Tout commence alors qu'on discute avec David G et Seb H, David nous fait pendant 2 plombes l'éloge d'une fille qui se trouve pas très loin de nous. Le coin ressemble à un campus, beaucoup de jeunes gens qui parlent, rigolent, se regroupent à plus de trois dans des halls. Bref c'est vivant. On s'étonne donc pas quand David M arrive sur cette espèce de place ou d'esplanade, et se fait copieusement tirer dessus au pistolet à billes par une jeune fille malhonnête et assistante de professeur (je retranscris exactement ce que j'ai sous les yeux). Oui tout ça se passe dans l'indifférence la plus totale. Si bien que mon cousin qui passait par là et s'arrête pour me dire bonjour ne m'en parle même pas. Non il me parle des nouvelles lois d'immigration aux Etats-Unis, il doit y emménager très bientôt et il vient de s'apercevoir qu'il ne remplissait pas les nouveaux critères. Autant dire qu'il est dans la merde le pauvre ! Mais dans ce rêve, pas le temps de s'apitoyer sur son sort puisqu'un flash d'information vient nous indiquer que "Les pistolets à billes c'est important. On tire sur des trucs pas pour rien." Le temps du flash et je me retrouve sur le quai du métro du campus. Mon train arrive, je monte et enjambe plusieurs voyageurs pour pouvoir aller m'installer plus près des WC. Le trajet est plutôt calme, je me demande à quoi ressemble le plan du réseau... Ma rêverie est interrompue par un coup de fil : on m'annonce que l'avion du professeur devrait bientôt se poser, on m'assure qu'il parle bien anglais et que par conséquent il atterrira dans un autre aéroport. Rien n'a d'emprise sur moi aujourd'hui, cette nouvelle ne me fait ni chaud ni froid.

Je suis presque à ma station. Allez savoir laquelle ?! Mon instinct me guide, je rejoins les autres dehors. David M se fait toujours tirer dessus, il tente bien de se cacher derrière une espèce de sumotori mais rien n'y fait, étrange. On continue de marcher tranquillement autour d'un stade, en papotant. La gâchette folle n'a pas fini de se déchaîner et tire désormais sur de petites cibles au loin... du bicathlon version paintball peut-être ? Et ça dure un bon moment ! Du coup on fini notre tour de stade et en repassant par notre point de départ, on retrouve David M les doigts en sang, victime d'une énième attaque de peinture propulsée à quelques 300 km/h. Et on s'inquiète pas une seconde.

C'est flou, c'est fou, c'est un rêve pris en note en pleine nuit.

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Comment interprètes-tu ce rêve ?